notre approche

L’importance de l’optimisme au travail et dans la fonction de manager.

Nous avions édité un article ces dernières semaine sur le négativisme dans notre socièté qui est un véritable fléau et nécrose les relations sociales. Voici aujourd’hui un article sur l’optimisme et le bonheur au travail.

La recherche du bonheur est l’une des plus grandes aspirations des êtres humains. Il existe une relation étroitement liée entre le bonheur et le travail. Beaucoup de personnes se disent malheureuses au travail, parce qu’elles ne sont pas bien dans leur peau et que cela leur donne de mauvaises conditions pour faire leur travail. Pourtant, la recherche du bonheur au travail est une des plus grandes aspirations des êtres humains.

La définition du bonheur varie d’une personne à l’autre, mais tout le monde veut être heureux et recherche la satisfaction de ses besoins. La plupart des gens sont satisfaits de leur vie professionnelle, mais ils ne réalisent pas que le fait d’être heureux au travail est une condition préalable pour pouvoir être satisfait ailleurs (famille, vie privée…).

Le bonheur au travail ne veut pas dire uniquement être heureux au travail, mais également être capable de s’adapter aux différents problèmes qui peuvent survenir dans le cadre de son activité professionnelle. En effet, l’être humain est constamment confronté à des problèmes qu’il n’a pas choisis, qu’il ne contrôle pas et qui peuvent lui donner l’impression qu’il n’y a pas de lien entre ce qu’il fait et la réalisation de ses objectifs. Cela engendre une grande insatisfaction qui peut être en partie responsable du développement d’une mauvaise humeur.

Le bonheur au travail est un élément essentiel pour réussir sa vie professionnelle et personnelle. Il permet de pouvoir gérer les problèmes qui surviennent sur le travail, mais aussi dans la vie privée.

1. L’optimisme au travail

Comment être heureux au travail ?

La présence d’un enthousiasme positif dans son travail est un facteur important pour être heureux au travail. Cet enthousiasme dépend de la vie personnelle de l’employé et de sa capacité à gérer les situations difficiles.

Une personne optimiste a plus facilement recours à l’initiative, elle ne cherche pas à attribuer la responsabilité des échecs à autrui, elle se donne un sens en faisant du travail une partie importante de sa vie, elle est moins sujette à la dépression et à la dépression majeure.

L’optimisme est aussi plus important que l’intelligence pour réussir dans son travail. En effet, le pessimiste sera toujours dans une situation de défense et ne fera pas grand-chose pour atteindre ses objectifs. Il cherchera les problèmes et les difficultés et ne ressentira aucune satisfaction en les résolvant.

2. La motivation au travail

C’est quoi la motivation ?

La motivation est ce qui nous pousse à agir. C’est ce qui motive nos actions et nos décisions. Ainsi, pour être efficace, le travail doit être motivant.

La motivation est liée aux besoins fondamentaux de l’être humain. Elle est liée à la vie personnelle et à la vie professionnelle.

Dans le travail, un employé a plus de chances d’être motivé s’il a un poste qui lui convient, si la personne qu’il travaille avec est une personne avec qui il peut travailler, si l’ambiance de travail est bonne, si le salaire et les primes sont corrects, s’il est bien informé sur ce qu’il fait, si son employeur lui fait confiance.

Dans le domaine personnel, on peut être motivé par le succès ou par la réussite dans ce que l’on entreprend. La motivation peut aussi être un moyen de nous évader de notre quotidien, de pouvoir prendre du recul sur une situation, de nous dépasser.

La motivation est un moteur qui nous pousse à agir. Elle peut être d’origine interne comme externe.

Lorsque l’on parle de motivation interne, on parle de motivations personnelles : l’individu fait quelque chose parce qu’il en a envie, parce que cela lui plaît, parce que cela lui procure satisfaction, etc. Cette motivation est variable en fonction des sujets. Il n’existe pas de personne qui soit entièrement motivée par son travail, d’autres ont besoin d’être stimulées par la perspective d’un bonus, d’une augmentation, d’une promotion, etc.

La motivation externe est le sentiment que nous éprouvons lorsque nous sommes poussés à agir par autre chose que par nos propres motivations. Elle peut être d’origine sociale ou de l’environnement. On parle de motivation externe quand on est motivé pour avoir une récompense, un avantage, une gratification. Cette motivation est entretenue par l’idée d’une récompense ou d’un avantage qu’on obtiendra en faisant quelque chose.

Les facteurs qui influencent la motivation sont très divers.

Nous pouvons par exemple être motivés par :

L’argent : les salaires, les primes, les bonus, les rémunérations de nos dirigeants…

La reconnaissance : le fait d’être reconnu, apprécié ou reconnu pour notre travail. Cela peut être symbolique ou bien concret.

L’estime de soi : l’image que nous avons de nous-même. Elle est toujours liée à notre capacité à réaliser des performances.

Les autres : notre famille, nos proches, nos collègues, nos supérieurs hiérarchiques…

La responsabilité : le fait d’avoir plus de responsabilité au travail.

Le plaisir : le fait de s’amuser, de faire ce qu’on aime faire, la satisfaction de nos intérêts et de nos besoins.

La fierté : le fait de réussir quelque chose, d’obtenir un résultat.

Le sens : le fait de donner du sens à notre travail.

La stimulation : la sensation d’être stimulé par des émotions fortes, des impressions visuelles, auditives ou sensorielles.

La connaissance : le fait de se développer, de progresser, d’acquérir de nouvelles compétences ou de nouveaux savoirs.

La sécurité : le fait d’avoir plus de sécurité dans son travail ou dans son emploi.

La reconnaissance sociale : la reconnaissance de nos pairs, de la société, de nos proches.

La liberté : le fait de ne pas être contraint, d’avoir du temps libre.

La considération : le fait d’être considéré par nos pairs, nos proches, la société…

La stabilité : le fait de ne pas être contraint à des changements dans son travail ou son emploi.

La possibilité d’évolution : le fait d’avoir plus de possibilités d’évolution dans son travail ou son emploi.

Le sens de la réussite : le fait de se sentir satisfait, de se dire « j’ai réussi ».

La santé physique : le fait de se sentir en bonne santé.

La santé mentale : le fait de ne pas se sentir dépressif ou anxieux au travail.

Le pouvoir : le fait d’avoir du pouvoir au travail.

La sécurité matérielle : le fait d’avoir un niveau de vie confortable.

Le plaisir : le fait d’être satisfait, d’avoir du plaisir au travail.

La reconnaissance sociale : le fait d’être reconnu, d’avoir du prestige à cause de son travail.

La responsabilité : le fait de prendre des décisions importantes au travail ou dans son emploi.

Le sens de la justice : le sentiment de pouvoir appliquer une justice à son travail ou dans son emploi.

Le sens du travail : le fait de penser que son travail a un sens, qu’il est utile à la société ou à des personnes.

La sécurité : le fait de ne pas être contraint, d’être en sécurité au travail.

Le sentiment d’appartenance : le fait de se sentir appartenir à une organisation ou à un groupe de travail.

Le sentiment de réussite : le fait de se sentir satisfait, de se sentir réussi dans son travail.

3. La confiance en soi ou le fait de se sentir capable de faire bien son travail.

Voici quelques grandes lignes qui devraient vous aider a savoir si vous êtes optimiste :

La confiance en soi : le fait de se sentir capable de faire bien son travail.

La confiance en ses collègues : le fait de se sentir capable de travailler en équipe avec ses collègues.

La confiance dans l’organisation : le fait de se sentir capable de travailler avec l’organisation.

La confiance dans la technologie : le fait de se sentir capable d’utiliser la technologie au travail.

La confiance dans les tendances économiques : le fait de se sentir capable d’utiliser les tendances économiques au travail.

La confiance dans la politique : le fait de se sentir capable d’utiliser la politique au travail.

La confiance dans les relations humaines : le fait de se sentir capable de travailler avec les autres au travail.

La confiance dans l’organisation : le fait de se sentir capable de travailler avec l’organisation.

La confiance dans la technologie : le fait de se sentir capable d’utiliser la technologie au travail.

Alors !! vous êtes optimiste …

C’est une question d’attitudes.

Pour arriver à son plein potentiel, chaque employé doit développer le plus grand nombre possible d’attitudes positives.

La confiance en soi est la première des attitudes positives à cultiver.

Les autres attitudes positives sont : la confiance en ses collègues, la confiance dans l’organisation, la confiance dans la technologie, la confiance dans les tendances économiques, la confiance dans les relations humaines, la confiance dans la politique.

La confiance en soi est un facteur influent dans le succès, dans la réussite, dans le rendement.

La confiance en soi augmente l’efficacité et améliore les résultats.

La confiance en soi est un facteur important chez les dirigeants, les managers, les employés.

C’est pourquoi, il faut cultiver la confiance en soi.

La confiance en soi est une attitude positive:

  • Avoir de la confiance en soi est une attitude positive .
  • La confiance en soi augmente l’efficacité.
  • La confiance en soi améliore le rendement.
  • La confiance en soi augmente la productivité.
  • La confiance en soi augmente la créativité.
  • La confiance en soi améliore la cohésion d’équipe.
  • La confiance en soi améliore les relations.
  • La confiance en soi améliore les rapports avec les clients.

4. Le succès au travail est d’avoir le bon état d’esprit.

L’état d’esprit a une importance cruciale pour le succès au travail .

Vous devez être dans un état d’esprit positif lorsque le succès au travail est votre objectif. L’état d’esprit est le facteur clé en matière de performance :

  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre potentiel.
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre efficacité. Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliore votre efficience .
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre rendement .
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre productivité .
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre créativité.
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez la cohésion d’équipe .
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez les relations.
  • Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez les rapports avec les clients. Le succès au travail est d’avoir l’état d’esprit positif

5.Les qualités d’un bon leader optimiste

Le leader est un vrai meneur. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager. Être un bon leader c’est avoir la capacité de faire travailler des personnes dans un but commun et qui va au-delà de leur propre intérêt. L’homme de pouvoir, l’homme de prestige n’est pas le bon leader. Quelles sont les qualités du bon leader ?

Le leader est d’abord charismatique. Le leader est une personne ambitieuse, qui n’a pas peur d’aller au devant des autres, un leader est un vrai meneur. Le leader n’est pas le premier qui parle mais il sait écouter et savoir séparer les bons conseils des mauvais.

Le leader a une bonne capacité de communication et de pouvoir émouvoir. Il sait utiliser le langage de l’autre pour l’atteindre et lui faire comprendre ce qu’il veut dire.

Le leader a une bonne capacité d’adaptation et d’ingéniosité. Il doit être capable d’adapter sa manière d’agir selon les situations et les personnes.

Le leader a une bonne capacité à motiver ses troupes. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager. Le leader est un vrai meneur. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager.

Conclusion

La société actuelle va de plus en plus dans l’individualisme, le leader doit être capable de faire prendre conscience aux autres qu’ils sont interdépendants. Les leaders sont des personnes qui peuvent aider à construire un monde meilleur.

Dans le monde actuel il n’y a pas assez de leaders, car trop peu d’entreprises et d’organisations se donnent à fond pour former les jeunes à devenir des leaders.

Les leaders sont d’une utilité précieuse sur le plan collectif. Cependant on ne peut pas répéter l’histoire, répétons plutôt tous ensemble notre manière d’être un leader optimiste.

Source de l’article : www.instants-web.fr